BONNES NOUVELLES!
29 avril 2011
Bonjour,
Ce journal vous informe d’un dénouement heureux, d’une initiative particulière et d’une victoire pour les personnes démunies.
Une membre fait aussi part de sa démarche à la suite d’une expérience personnelle…
Francis Boulet
DOSSIER BARLAGNE
Paru le mercredi 13 avril 2011 sur The Associated Press
Un couple français menacé d’expulsion au Canada
MONTRÉAL – Un couple français est menacé d’expulsion au Canada en raison de la paralysie cérébrale de leur fille cadette. Il va exhorter, jeudi, le ministre de l’Immigration Jason Kenney à leur octroyer sans tarder un permis de séjour permanent pour des raisons d’ordre humanitaire, rapporte le quotidien Le Devoir.
À moins d’une volte-face, David et Sophie Barlagne seront expulsés avec leurs deux enfants au mois de juillet, soit six ans après leur arrivée au Québec.
Alors que la campagne électorale fédérale bat son plein, les parents, tous deux d’origine guadeloupéenne, vont demander à l’ensemble des partis politiques de prendre formellement position sur le dossier.
La demande de résidence permanente de la famille Barlagne a été rejetée en septembre 2008 parce qu’une de leurs deux filles, Rachel, atteinte de paralysie cérébrale, est considérée comme un « fardeau excessif » pour les services sociaux.
« Rachel n’est pas un fardeau excessif. Le fardeau excessif provient plutôt d’une bureaucratie déconnectée et d’une loi qu’il faut changer de façon urgente », conclut le Dr Pierre Marois.
À cet égard, la députée néo-démocrate de Trinity-Spadina, Olivia Chow, avait présenté, à la mi-juin 2010, un projet de loi à la Chambre des communes pour amender la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés afin de mettre fin à la « discrimination » que subissent les personnes handicapées aspirant à immigrer au Canada.
« Le Canada a signé la convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées, mais (aujourd’hui) mine ses fondements en perpétuant de vieux stéréotypes », dénonçait-elle lors du dévoilement de son projet de loi qui est, depuis, resté lettre morte.
Extraits de www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hExrn2uNwdqXsjE5oxGmfHQjorKw?docId=6550712
Articles parus sur Cyberpresse/La Presse 14 avril 2011
La famille Barlagne dépose une demande humanitaire
La famille Barlagne entend déposer une demande humanitaire au ministre canadien de la Citoyenneté ce jeudi, à Montréal.
Établie à Montréal depuis 6 ans, cette famille française est menacée d’expulsion parce qu’une de leurs filles est handicapée.
Cette dernière, atteinte de paralysie cérébrale, serait considérée comme un fardeau excessif pour les services sociaux.
David et Sophie Barlagne en appellent au ministre de l’Immigration Jason Kenney et à tous les partis politiques fédéraux, actuellement en campagne électorale, pour qu’ils se prononcent sur ce dossier.
Ils demandent également aux porte-parole des partis leur position vis-à-vis de la disposition de la Loi contestée par la famille et les associations de personnes handicapées.
La demande de révision judiciaire de leur dossier a été rejetée à la mi-mai 2010 par la Cour fédérale.
Les parents d’origine guadeloupéenne risquent l’expulsion avec leurs deux enfants au mois de juillet.
Un fardeau excessif
Un « fardeau excessif ». Voilà ce que représente la petite Rachel Barlagne, 8 ans, aux yeux du gouvernement canadien. Cette fillette adorable a-t-elle commis un crime? Non. Aussi absurde que cela puisse paraître, son « crime », c’est d’être atteinte de paralysie cérébrale. Un « crime » qui, selon la logique inquiétante du ministre de l’Immigration Jason Kenney, peut à lui seul justifier l’expulsion d’une enfant et de sa famille pourtant parfaitement intégrées dans ce pays.
Imaginez un peu des parents qui reçoivent un beau matin une lettre d’un fonctionnaire qui leur dit que leur fille, intelligente et attachante, est un « fardeau excessif » pour la société canadienne. Il y a d’abord ce mot. Fardeau. « Un mot intolérable pour qualifier un enfant », me disait avec raison hier David Barlagne, le père de Rachel. Et puis, au-delà du mot, il y a l’injustice.
David et Sophie Barlagne sont français. Je les ai rencontrés hier. Des immigrés exemplaires qui ont été courtisés par des fonctionnaires canadiens pour s’établir ici. Ils ne regrettent pas leur choix. Mais ils sont amers. Et pour cause. M. Barlagne est chef d’entreprise. En 2004, il a rencontré un émissaire de l’ambassade du Canada à Paris. On l’a encouragé à venir implanter son entreprise d’informatique à Montréal. Sa fille Rachel avait 2 ans à l’époque. Il dit avoir pris soin de faire connaître aux autorités canadiennes sa condition particulière. Mais jamais il n’aurait pensé que le handicap de sa fille pouvait être un motif de refus de résidence. Dans toutes les discussions préalables à l’installation de la famille au Québec en 2005, cette question n’a jamais été soulevée, dit-il. « Si dès le départ j’avais su, je n’aurais pas recommencé ma vie à zéro. » Lire la suite…
Paru sur Radio-Canada.ca/Montréal 14 avril 2011
Un couple français et leurs deux enfants menacés d’expulsion du Canada
Un couple français est menacé d’expulsion du Canada en raison de la paralysie cérébrale de leur fille cadette. Ils exhorteront jeudi le ministre de l’Immigration Jason Kenney à leur octroyer un permis de séjour permanent pour des raisons humanitaires.
Dans une lettre publiée dans l’édition de mercredi du quotidien montréalais Le Devoir, un médecin physiatre spécialisé en réadaptation pédiatrique, Pierre Marois, soutient qu’il s’agit d’une « décision absurde et honteuse ».
La famille Barlagne avait demandé une révision judiciaire de son dossier. Sa demande a été rejetée à la mi-mai 2010 par la Cour fédérale, et son sort repose désormais entre les mains du ministre de l’Immigration.
En France, le ministre Éric Besson, ancien titulaire du dossier de l’Immigration et aujourd’hui chargé de l’Industrie, a déjà exprimé à son homologue canadien l’émoi que cette affaire a provoqué dans son pays. Il dit souhaiter un dénouement conforme aux vertus d’accueil et d’humanité du Canada.
Extraits de www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2011/04/13/002-couple-francais-expulsion-paralysie-cerebrale.shtml
Paru le mercredi 20 avril 2011 dans Le Devoir
Les Barlagne resteront au Québec. La ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles du Québec, Kathleen Weil, est parvenue à une entente avec le gouvernement fédéral pour que cette famille menacée d’expulsion puisse obtenir sa résidence permanente.
C’est ce que la ministre Kathleen Weil a annoncé hier après-midi. La famille Barlagne s’était vu refuser la résidence permanente au Canada parce qu’une des filles, Rachel, qui souffre de paralysie cérébrale, représentait un « fardeau excessif » pour son pays d’accueil, selon les agents d’immigration fédéraux. Les Barlagne, d’origine guadeloupéenne, avaient pourtant été encouragés à venir s’installer ici comme investisseurs par des représentants de l’ambassade du Canada à Paris.
Au cours de la semaine dernière, le médecin de Rachel Barlagne, Pierre Marois, a écrit aux journaux pour témoigner du fait que la petite Rachel Barlagne était bien handicapée, mais pas malade, et qu’elle ne nécessitait pas de soins médicaux.
Extraits de http://www.ledevoir.com/politique/canada/321554/les-barlagne-resteront-au-quebec
UN NOUVEAU RESTAURANT DANS LE NOIR OUVRE SES PORTES À QUÉBEC
Articles parus le jeudi 14 avril 2011 sur Cyberpresse/Le Soleil
Un restaurant dans le noir ouvre ses portes à Québec
(Québec) Il est plutôt rare que le simple fait d’aller au restaurant donne des papillons dans l’estomac.
Rassurez-vous, toutefois, le personnel aura vite fait de vous mettre à l’aise. Vous n’aurez plus qu’à mettre vos sens en alerte pour savourer pleinement l’expérience. Bienvenue au restaurant dans le noir Ô 6e sens, pour un repas qui stimule bien plus que les papilles gustatives.
Après plus d’un an d’efforts, le projet de Jean‑François Lessard et de Patrick Vézina voit enfin le jour. L’établissement ouvrira officiellement ses portes mardi, avenue de Germain-des-Prés, à Québec, tout à côté du restaurant Bistango. Le Soleil a toutefois eu le privilège de vivre cette aventure en primeur, lors d’une soirée d’entraînement réunissant des sympathisants du projet, histoire de permettre aux serveurs aveugles de se familiariser avec leur nouvel environnement de travail avec un stress réduit.
D’ores et déjà, cependant, on peut dire que la machine semble assez au point. Ses deux initiateurs n’étaient d’ailleurs pas peu fiers du résultat, mardi soir, après la réception d’un premier groupe d’importance, soit une trentaine de personnes, alors que la salle peut en contenir 44. Il faut dire que tous avaient pu s’entraîner au cours des derniers jours avec l’ouverture de la sandwicherie, le midi. Car si celle-ci fonctionne en pleine lumière pour les clients, les six hommes et les deux femmes composant le personnel non voyant sont toujours dans le noir!
Histoire de bien encadrer l’expérience, il y a toujours aussi sur place des employés à l’oeil bien ouvert. C’est le cas de Jean‑François Lessard, qui, avec son sourire grand comme ça, accueille les clients et leur explique le fonctionnement de la soirée.
Bouchons électroniques
Patrick Vézina assure pour sa part le service des boissons, malgré sa cécité. Sa tâche est facilitée par le système spécialement mis au point par la compagnie Azbar, un manufacturier d’équipements pour les bars. Ainsi, chaque bouteille est équipée d’un bouchon électronique. Une fois que le serveur a entré sa commande dans l’ordinateur, seule la bouteille choisie coulera. « S’il se trompe de bouteille, ça ne coulera pas », explique le président de la compagnie, Robert Blouin.
Il y a un an, lors d’une première entrevue accordée au Soleil, il était question d’une collaboration avec la cuisine du Bistango. Mais le concept a évolué, et il est vite apparu qu’il nécessitait sa propre cuisine, expliquait avant le repas le chef Mario Martel, qui a servi de mentor à l’équipe ayant mené ce projet à terme. Ce n’est toutefois pas lui qui trône aux fourneaux, mais… son fils Simon et son collègue Raphaël Girard.
La formation des huit serveurs a été assurée par l’École hôtelière de la Capitale, en collaboration avec le Centre d’éducation aux adultes Louis‑Jolliet.
Le restaurant est quant à lui la propriété de trois actionnaires, MM. Lessard et Vézina, ainsi que l’opticien Gaétan Paquet. Ils se sont engagés à verser 10 % des profits à la Fondation Caecitas, qui soutient les non-voyants.
À la merci de votre serveur
(Québec) Le rideau tombe, l’obscurité nous enveloppe. Désormais, nous sommes à la merci totale de notre serveur.
Avec aisance et délicatesse, Dominique nous guide, chacun posant sa main sur l’épaule de celui qui le précède. Une fois arrivés à notre table, il nous fait toucher ses contours, ainsi que nos chaises. Voilà, nous sommes assis, ce n’est pas plus compliqué que ça.
Regard autour… décidément, il fait vraiment noir. Une tablée un peu délinquante gâche parfois le plaisir en allumant un cellulaire, le temps de visualiser les assiettes. Ça ne devrait plus se produire lorsque des casiers seront installés à l’entrée pour y ranger en sûreté toute source possible de lumière. Car vivre l’expérience de manger dans le noir, c’est aussi accepter de lâcher prise pendant un moment, et de partager (un peu) la réalité des personnes aveugles.
Le serveur devient un repère pour répondre à tous nos besoins, y compris celui d’aller à la toilette. Qu’on se rassure, lorsque la porte de la salle de bains se referme sur nous, une petite lumière s’allume!
Le service se fait en douceur, dans une respectueuse proximité. Les mains se touchent lors du passage des verres et des plats. En tout temps, Dominique se souvient de ce qui est déjà sur la table, et s’assure que rien ne soit renversé lorsqu’il dépose un plat.
Le service est bien pensé : de grandes assiettes rectangulaires avec un rebord, et contenant trois verrines, ce qui évite le mélange des mets.
Le menu, qui est une surprise, comprend trois services de trois plats fort différents, tant par leur goût et leur arôme que leur texture. « On revient à l’essentiel », expliquait avant le repas le chef Simon Martel, qui, malgré ses 19 ans, affiche déjà une superbe aisance en création culinaire.
Il est fortement recommandé de se laver les mains avant de passer dans la salle, car les doigts seront nécessairement mis à contribution à différents moments, malgré l’utilisation d’ustensiles. Ne serait-ce que pour « voir » s’il en reste dans l’assiette… Chacune des opérations propres à un restaurant a été pensée au bénéfice des serveurs non voyants. À notre arrivée, nous recevons une carte magnétique qui est en quelque sorte notre carnet de commande personnel. Si on ajoute par exemple une consommation en cours de repas, le serveur emporte la carte et enregistre l’ajout. À la sortie, la carte est lue pour préparer la facture.
Le menu, qui changera une fois par saison, est composé à partir de produits frais ou du terroir. Rien d’inconnu, mais des préparations goûteuses et surprenantes. Et délicieuses, doit-on préciser. Ce n’est qu’en sortant qu’on en reçoit une copie écrite. Surprises garanties!
Avec ou sans alcool
Quant au prix, il est de 38 $ pour le repas sans alcool, et de 55 $ pour un accord vins-mets. Un tarif spécial de 15 $ est établi pour les enfants, mais il est bon de préciser que l’expérience nécessite une certaine maturité pour être appréciée.
Il faut obligatoirement réserver, et la formule est préétablie : arrivée vers 18 h, accueil dans la partie éclairée du restaurant (il y a un bar), explication du concept, présentation du repas par le chef Simon Martel, qui donne des « pistes aromatiques », et entrée dans la salle autour de 19 h. Le personnel du restaurant s’informera au moment de la réservation de toute intolérance ou allergie alimentaire.
Réservation par téléphone : 418 704-7367. Ouverture à compter du mardi 19 avril. Le restaurant est situé au 1200, avenue de Germain-des-Prés, arrondissement de Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge.
CRÉDIT D’IMPÔT POUR SOLIDARITÉ
LE PARTI QUÉBÉCOIS OBTIENT UNE VICTOIRE AU BÉNÉFICE DES PLUS DÉMUNIS
Québec, le mardi 19 avril 2011 – Le Parti Québécois est heureux d’annoncer que le gouvernement libéral renonce à son projet de rendre obligatoire l’inscription au dépôt direct pour les personnes admissibles au crédit d’impôt pour solidarité et qui n’ont pas la possibilité d’avoir un compte bancaire.
« Ces conditions pénalisaient des milliers de personnes démunies. Par son entêtement, le gouvernement libéral allait exclure volontairement de ce programme les plus vulnérables de notre société. Cette volte-face est une bonne nouvelle. L’ennui, c’est qu’il a fallu insister à maintes reprises et l’intervention de la Protectrice du citoyen pour que le gouvernement se réveille enfin », a déclaré le député de Lac-Saint-Jean et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’emploi et de solidarité sociale, Alexandre Cloutier, après avoir entendu en commission parlementaire la ministre Julie Boulet passer aux aveux et confirmer la nouvelle.
L’opposition officielle est surprise d’ailleurs que le gouvernement libéral se soit caché pour annoncer l’abandon des conditions restrictives qu’il avait imposées dans le budget Bachand en 2010. « Il aura fallu intervenir à l’étude des crédits ces derniers jours et tirer les vers du nez aux fonctionnaires et aux ministres du Revenu et de la Solidarité sociale pour enfin apprendre cette nouvelle orientation. C’est plutôt étonnant et c’est à se demander si ce n’était pas l’intention du gouvernement de ne pas publiciser cette nouvelle pour limiter le nombre de bénéficiaires au programme », a soutenu le député de Rimouski et porte-parole en matière de revenu, Irvin Pelletier.
Rappelons que le crédit d’impôt pour solidarité regroupe en un seul crédit le crédit pour TVQ, le crédit pour particulier habitant un village nordique et le remboursement d’impôts fonciers. Ce crédit sera maintenant versé mensuellement à compter de juillet 2011. « Avec toutes les hausses de tarifs des derniers mois et des dernières années imposées par le gouvernement Charest, il était inadmissible qu’il veuille faire des économies sur le dos des plus démunis », a indiqué Alexandre Cloutier.
Programme Action : une modification salutaire
Le Parti Québécois a également obtenu un autre gain ce matin : la ministre Boulet a annoncé qu’elle modifierait le programme Action, issu d’une fusion des programmes Devenir et Interagir.
« Bien qu’elle ait nié pendant des semaines que cette fusion n’avait aucun impact sur l’aide apportée, la ministre Boulet reconnaît aujourd’hui que ce programme abandonnait des centaines de personnes désireuses de s’en sortir. Cette autre volte-face de Mme Boulet, qui vient de renverser la décision de son prédécesseur, Sam Hamad, n’est pas vaine et aidera à la protection des plus démunis de notre société, bien que beaucoup reste encore à faire », a conclu le député de Lac Saint-Jean.
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Source : Direction des communications de l’aile parlementaire du Parti Québécois
INJUSTICE OU PRÉJUGÉ?
Sherbrooke, le 2 avril 2011
Le lundi 28 mars dernier, j’ai téléphoné à votre bureau et la réceptionniste m’a donné un numéro de téléphone pour m’inscrire comme personnel électoral. Ensuite, j’ai appelé à ce numéro et la personne qui a répondu m’a dit que pour pouvoir travailler aux élections, il fallait être membre du parti, que le coût est de 5,00 $ et aller porter l’argent au local électoral situé au 292, rue King Ouest.
Mardi midi, je décide d’aller porter l’argent pour acheter 3 cartes pour les membres de ma famille. Mais lorsque je me suis présentée au bureau électoral, le monsieur en poste m’a demandé : « Pour qui tu as voté la dernière fois? » Il n’a pas le droit de me poser cette question. En plus, il a ajouté : « Dis à ta famille et tes amis que je n’ai pas besoin de personne, car j’ai déjà plein monde, plus qu’il m’en faut. » Il a su rajouter que je ne suis même pas assez bonne pour faire des appels téléphoniques. Pourtant, la veille, au téléphone, il m’avait demandé si je voulais en faire, moi. Je n’ai jamais pu lui dire que je voulais 3 cartes. Il a chialé avant de me demander le pourquoi de ma visite. Je n’y allais pas pour de l’argent, mais pour apporter le 15,00 $…
Je veux savoir pourquoi un représentant peut chialer contre moi. J’ai au moins vingt ans d’expérience comme membre pour les élections.
Bien à vous et recevez mes sentiments les meilleurs.
Note : Cette lettre a été envoyée par une personne membre de Handi-capable qui désire conserver son anonymat.