Volume 4, no 18

 

 

SE DÉPASSER? BIEN SÛR!

 

2 novembre 2012

Bonjour,

Comme son titre l’indique, nous mettons l’accent sur les personnes handicapées qui font preuve de dépassement de soi. Vous pourrez lire les témoignages de Francis Boulet, Colette Jean et les derniers comptes-rendus du projet collectif des jardins du parc Maillé.

Vous êtes ensuite invité(e) à :

  1. voter pour soutenir Sylvie Séguin,
  2. participer à l’événement « Opération 10 000 signatures pour les TC ». Au fait, saviez-vous que le directeur de notre organisme, Raymond Cyr, vit avec un traumatisme crânien?

Il est aussi question du prochain thème du chat de Marc… À surveiller!

Vous découvrirez comment les personnes d’origine espagnole, notamment Norah Humérez-Comtois et Cristian Taño, membres de Handi-capable, célèbrent les morts selon leurs croyances.

Finalement, ce n’est pas un oubli, personne ne célébrera son anniversaire d’ici la prochaine parution du journal.

Francis Boulet et Claudia Beauregard

 

HANDICAP ET DÉPASSEMENT DE SOI

Les athlètes corporels

Michaël Zicola

L’approche ethnographique initiée dans cet article a pour but d’entrer en contact avec le handicap dans sa relation avec la motricité au sens des sciences et les techniques des activités physiques et sportives en général ainsi qu’avec le sport de haut niveau en particulier. Nous avons mis en place ce protocole dans une double écriture avec la personne handicapée elle-même afin de mieux mesurer les évolutions et les enjeux des situation de handicap de l’intérieur des histoires de vie. Les parcours sportifs sont pour nous un puissant révélateur des dynamiques « d’intégration inclusion » que propose de parfaire la loi du 11 février 2005 dans ses interactions avec la culture sportive et la recherche action dans l’amélioration des situations de handicap. Décrire, observer et ensuite analyser les paroles et les écrits de ceux à qui « on ne demande presque jamais rien »; voilà posée notre problématique de recherche. Nous faisons l’hypothèse que des mondes se côtoient et s’ignorent mutuellement. Il nous faut les décrire, les connaître afin d’en tirer un bénéfice sociologique. Nous devons découvrir et explorer de nouvelles pistes pour qu’émergent de nouveaux savoirs autour de la motricité entre science et culture disciplinaire.

Extrait de http://leportique.revues.org/index961.html.

Opinion

esperancia5077 le Ven 16 Mar – 22:54

Une personne à qui il manque un pouce est considérée elle aussi comme une personne handicapée. À côté des familles qui ont des enfants possédant un handicap très, très lourd ce n’est pas normal, car il y a le même traitement pour les deux situations.

Moi, je trouve ça un petit peu énervant parce qu’on leur remet un « macaron G.I.C. bleu » pour se mettre sur les emplacements handicapés. Je trouve ça un petit peu aberrant! Je veux dire, où commence le handicap, où s’arrête le handicap?

Les trois choses importantes sont à mes yeux : le droit au travail, le droit à la scolarité et le droit à la dignité humaine. Le reste peut venir après ces trois choses-là! Il faut que cela soit quelque chose qui soit vu et suivi de très près. Le monde du travail, le monde « vers » la scolarité, le monde du rapport humain ce sont peut-être les trois [domaines] que je voudrais suivre. »

Pour ma part je fais de mes faiblesses une force.

Source : http://handiparentalite.forumactif.com/t734-handicap-et-depassement-de-soi

 

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LA NOUVELLE ENTREPRISE DE FRANCIS alt

Lors du chat thématique, vous m’avez demandé d’expliquer mon entreprise de café santé.

En juin, mon ami a osé m’approcher avec une nouvelle entreprise. Je m’étais fermé à ce genre de réseau, car j’avais vécu plusieurs échecs, en rêvant de devenir millionnaire.

Par contre, cette fois-ci, mon ami est un homme d’affaire et auteur de best-seller. Je le voyais si excité, beaucoup plus qu’à son habitude, que j’accepte de découvrir cette entreprise qu’est ORGANO GOLD. Celui-ci se spécialise dans le café santé.

Pourquoi je crois réussir dans ce réseau? Parce que les gens goûtent aux produits avant de les acheter. De plus, le travail est simple.

Nous avons divers cafés : noir, latté et moka, du chocolat chaud ainsi que des thés. Tous sont 100% bio avec des extraits d’un champignon.

Le Ganoderma Lucidum ou Reishi est reconnu dans le monde pour vous aider à :

. Oxygéniser votre organisme
. Fournir énergie et vigueur
. Désintoxiquer naturellement votre corps
. Fournir une meilleure qualité de sommeil
. Favoriser une bonne circulation
. Renforcer le système immunitaire
. Favoriser la santé et la longévité…

Cette liste représente le 1/10e de l’information sur les effets du Ganoderma sur votre santé.

Extrait de http://www.empirelibertgv.ca/ganoderma/.

Moi, le bienfait que je ressens, c’est que je suis plus calme et mieux reposé.

Je vous invite sur mon site http://www.unbonpetitcafe.organogold.com/r/CA/FR/ pour vous informer davantage et découvrir les différents produits.

Si vous avez des questions, écrivez-moi à f.boulet@hotmail.ca.

Francis Boulet

P.-S. Avant, pour aimer mon café, je mettais de deux à quatre sucres. Là, c’est du miel.

 

L’AUDITION DE COLETTE JEAN À alt

Le dimanche 28 octobre, je me lève à 6 h. Je veux être au Delta Sherbrooke le plus tôt possible. Bien sûr, Guy m’accompagne!

Les auditions de l’émission On connaît la chanson diffusée à TVA et animée par Mario Tessier commenceront vers 8 h 30. Nous arrivons à destination à 7 h 20. Je ne prends pas de chance : je suis de bonne heure… et de bonne humeur!

Lorsque les portes s’ouvrent, il faut compléter un formulaire d’inscription en vue de la première audition. Je prends le temps de bien faire, ne sachant pas que la rapidité à laquelle il est rempli déterminera l’ordre des participant(e)s. Peu importe… Je passe la première audition assez facilement.

Ensuite, il faut changer de salle et remplir notre fiche descriptive : nos préférences, nos idoles, les chansons qui ont bercé notre enfance, nos coups de coeur et les autres qu’on n’aime pas!

Mes couleurs musicales sont les vieux hits québécois et outre-mer : Moustaki, Brel, Dalida, Joe Dassin, Jean-Pierre Ferland, Félix Leclerc, Gilles Vigneault et les chansons que les personnes âgées aiment écouter et chanter.

Nous ne savons pas à l’avance ce qui se passe ni comment ça se poursuit dans la 2e partie. C’était stressant! Pendant que je remplis ma fiche et les questions, une journaliste de LaTribune nous accoste pour des questions.

Je rencontre l’animateur, Mario Tessier. Beau bonhomme, mais pas aussi grand que je croyais. Il me conseille de m’amuser. C’est mon intention, même si je sens le stress monter.

Ici, l’équipe d’audition est à la recherche de personnalités et non de voix.

Mon tour arrive – numéro 90! L’homme vient me chercher pour auditionner. Il me demande mes préférences : Félix Leclerc (Le Petit Bonheur) rythmé à ma façon et Marjo (Doux). Il me dit : « Fais Le Petit Bonheur. Le pianiste s’ajustera à ton rythme et ta voix. ». Me voilà partie comme un pro, a capella, et le pianiste m’a rattrapée presqu’à la fin… Disons, trop tard! Je crois que mon interprétation a plu aux juges, car je les voyais taper du pied!

On me demande ce que je peux faire de plus. Je dis que des chansons de gars me vont bien. J’ai nommé Claude Dubois et chanté Si Dieu existe.

Après, il me propose d’enchaîner avec Gerry Goulet. Je manque quelques paroles de Toujours vivant, mais je me reprends bien.

Pour finir, il me demande de chanter une chanson de Céline Dion. Je lui propose S’il suffisait qu’on s’aime. Me voilà encore partie… Franchement, ç’a bien été!

À la question : « Que feras-tu avec l’argent que tu gagneras? » J’ai répondu : « J’aimerais une bonne guitare avec l’amplificateur, les micros et tout le tralala pour faire des salles chez les personnes handicapées et personnes âgées. Ça coûte très cher ces équipements-là et je ne peux me permettre ça. J’aimerais transmettre ma passion aux autres. Comme Donnez au suivant. »

Ils m’ont remerciée et dit que j’avais fait une très belle audition. Il faut attendre pour le tri et, si je passe, nous serons convoqué(e)s en janvier ou février pour la saison automne-hiver 2013-2014.

Ils m’ont invitée à sortir. Je prends le temps de regarder les trois juges, le pianiste et le cameraman dans les yeux et de les remercier avant de partir. J’ose dire au jury : « Au plaisir de se revoir » avec un clin d’oeil!

Quelle aventure! Le stress tombé, je retourne dans la salle et avise les autres de déstresser et de se concentrer sur ce qu’ils ont à faire. Ils ont applaudi! Nous sommes repartis.

Nous sommes arrivés à la maison vers midi. La madame est bien fatiguée, mais tellement heureuse de ce bonheur!

À suivre vers janvier-février 2013…

Colette Jean

À la page 16 de La Tribune du 29 octobre 2012 on lisait :

L’APPEL DE LA CHANSON

Véronique Larocque
veronique.larocque@latribune.qc.ca

SHERBROOKE – Faire la grasse matinée un dimanche matin d’octobre? Des dizaines d’Estriens ont mis une croix sur ce projet, pourtant tentant, hier, préférant miser sur une activité potentiellement beaucoup plus payante. L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, dit-on. Les 200 000 dollars de l’émission On connaît la chanson pourraient bien leur revenir aussi.
Dans la salle de l’hôtel Delta où l’équipe de production accueille les candidats, la nervosité est palpable. Après avoir griffonné fébrilement leurs informations personnelles sur le formulaire d’inscription, ils attendent, le coeur battant, que leur nom soit appelé.
Les auditions d’LOGO attire une proportion bien plus importante de femmes que d’hommes, un ratio d’environ 70/30, selon un membre de l’équipe de production.
Du côté de l’âge, toutefois, il ne semble pas y avoir une catégorie qui se démarque. Jeunes et moins jeunes veulent avoir leur chance de chanter sur le plateau de Mario Tessier.
La majorité des candidats rencontrés ont une expérience en chanson. Colette Jean, 52 ans, de Sherbrooke, a chanté dans des mariages.
« On veut du talent. Est-ce que les téléspectateurs ont envie d’entendre durant 60 minutes quelqu’un qui ne sait pas chanter? Non », explique Séric, l’idéateur et superviseur de création de l’émission.
Toutefois, Séric souligne que savoir chanter, ce n’est pas tout : « On cherche tout d’abord une personnalité. »
Les personnes sélectionnées participeront aux émissions qui seront diffusées à l’automne 2013 et à l’hiver 2014.

 

LES JARDINS DE CHEZ-NOUS

Le 30 mai dernier débutait la grande aventure de six jardiniers membres de Handi-capable : Colette, Guy, Marie-Élodie, Raymond, Sylvie et Johanne. Ils ont travaillé très fort pendant un peu plus de quatre mois dans les quatre bacs de jardinage.

L’entraide leur a permis de se dépasser et vivre des expériences de toutes sortes dont ils sont sortis la tête haute. Ce premier été est un réel succès.

Je vous invite à cliquer sur les hyperliens suivants afin de prendre connaissance des événements marquant de ce dernier mois de labeur.

Nos jardins – 33e partie
Nos jardins – 34e partie
Nos jardins – 35e partie
Nos jardins – 36e partie

Claudia Beauregard

 

UNE MAMAN HANDICAPÉE A BESOIN D’UNE ADAPTATION QUI CHANGERAIT SA VIE

Sylvie Séguin participe à un concours de la compagnie d’assurance AVIVA.

Elle vit avec une maladie dégénérative. Elle a essayé un bras robotisé qui lui redonnerait une partie de l’autonomie qu’elle a perdue.

De plus, Sylvie a aidé plusieurs personnes dans le passé avec sa fondation. C’est elle qui aujourd’hui, nous demande notre aide.

Aviva subventionne pour un million de dollars de projets chaque année. Plus le projet reçoit d’appuis, plus il a de chances d’être accepté. Il est possible de voter toutes les 24 heures.

Je vous invite donc à la supporter, elle qui en a aidé tant d’autres. Il vous suffit de cliquer sur http://www.fondscommunautaireaviva.org/ideas/acf15466, de vous inscrire par votre compte Facebook et de voter.

Merci!

Maurice Richard

 

TRAUMATISME CRÂNIEN

Ce handicap est méconnu. Pour connaître les symptômes et comportements je vous invite à consulter le document Outils de compréhension de « notre handicap invisible »… Vécu, expérience, réflexions de traumatisés crâniens.

Si vous vous reconnaissez ou réalisez qu’une personne de votre entourage est touchée, il est important de collaborer à l’Opération 10 000 signatures pour les TC. Le site cassetete22.com et l’Association des familles de traumatisés crâniens et cérébro-lésés 22 souhaitent recueillir ces 10 000 signatures pour briser l’isolement des personnes atteintes et transmettre leur fascicule aux instances habilitées à traiter les problèmes de ces personnes handicapées.

Pour signer, rendez vous sur https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dEsxNG84ZHRBQ054eEd5aHEzU25yYmc6MQ.

Claudia Beauregard

 

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Prenez note que le prochain chat thématique sera le mardi 6 novembre, à 19 h.

Nous parlerons de l’importance de dédramatiser avec le rire!

Pour recevoir le thème par courriel, une semaine à l’avance, mettez votre adresse à jour en me l’adressant à oublie_moi_pas@hotmail.com.

Je serai sur MSN à partir de 18 h 30 pour vous intégrer au groupe.

Le 30 octobre, huit membres étaient présents. Merci de votre participation!

Je vous attends en grand nombre!

Marc Pilon

 

CÉLÉBRATIONS DES MORTS

Vers la fin du dernier chat, Norah m’explique que les gens de son pays natal, la Bolivie, croient en la présence des morts. Comme je sais qu’un autre membre de Handi capable est Argentin, je me suis intéressée davantage à ce sujet.

Le 1er novembre, les pays de tradition catholique célèbrent ce jour en honneur à tous les saints, connus et inconnus. Pour nous, c’est la Toussaint. Dans les pays espagnols, on nomme cette fête la Fête des Morts ou le Jour des Morts.

Dans les traditions qui se maintiennent encore aujourd’hui on pense que les ajayus (les âmes) reviennent le 1er novembre pour apporter fécondité et fertilité pour toute l’année.

En Bolivie, la cérémonie commence à midi le 1er novembre jusqu’à midi le 2 novembre (jour férié), car on croit que le 1er novembre à midi les ajayus descendent de leurs montagnes pour passer du temps pendant 24 heures avec leurs familles et amis.

L’activité la plus courante de ces jours est la traditionnelle visite au cimetière, où les gens se donnent rendez-vous pour recevoir les âmes des morts avec des offrandes, des prières et de la musique.

En général la journée du 2 novembre se déroule de la manière suivante :

– En famille on va au marché de la Toussaint. Là on peut acheter de tout pour décorer la tombe; bonbons, fruits, biscuits, cannes à sucre, etc.

– Ensuite on va au cimetière pour nettoyer la tombe, la décorer, et prier.

Si la personne défunte est morte dans l’année c’est à ce moment qu’il faut lui faire une messe (chrétienne) ou une table de cérémonie (aymara).

Dans les traditions qui se maintiennent encore aujourd’hui on pense que les ajayus (les âmes) reviennent le 1er novembre pour apporter fécondité et fertilité pour toute l’année.

En Bolivie, la cérémonie commence à midi le 1er novembre jusqu’à midi le 2 novembre (jour férié), car on croit que le 1er novembre à midi les ajayus descendent de leurs montagnes pour passer du temps pendant 24 heures avec leurs familles et amis.

L’activité la plus courante de ces jours est la traditionnelle visite au cimetière, où les gens se donnent rendez-vous pour recevoir les âmes des morts avec des offrandes, des prières et de la musique.

En général la journée du 2 novembre se déroule de la manière suivante :

– En famille on va au marché de la Toussaint. Là on peut acheter de tout pour décorer la tombe : bonbons, fruits, biscuits, cannes à sucre, etc.

– Ensuite on va au cimetière pour nettoyer la tombe, la décorer, et prier.

Si la personne défunte est morte dans l’année c’est à ce moment qu’il faut lui faire une messe (chrétienne) ou une table de cérémonie (aymara).

table de cérémonie

 

 

Un des éléments faisant partie de l’autel est la Tantawawa. C’est un biscuit de 50 cm de forme humaine avec un visage de plâtre coloré et qui représente la personne décédée. Un autre composant de la table de cérémonie appelée apxata est l’échelle de pain qui symbolise la montée des âmes au ciel.

Des pratiques courantes que vous pourrez observer dans les cimetières les premiers et deux novembre sont également le « faire prier », il s’agit de payer quelqu’un, un prête, un yatiri (prêtre aymara), un musicien pour qu’il prie ou joue de la musique pour le mort.

En effet,

 

Des pratiques courantes que vous pourrez observer dans les cimetières les premiers et deux novembre sont également le « faire prier », il s’agit de payer quelqu’un, un prêtre, un yatiri (prêtre aymara), un musicien pour qu’il prie ou joue de la musique pour le mort.

En effet, pour les Aztèques, la vie n’était qu’un rêve et en mourant on se réveillait. Ils gardaient des crânes et les exhibaient durant les fêtes pour célébrer la mort et la renaissance et pour honorer les morts qui selon eux revenaient en visite à cette époque de l’année. Les espagnols n’ont pas réussi à éliminer ce rituel. Ils ont dû se contenter d’en fixer la date en même temps que celle d’une fête chrétienne : la Toussaint.

dia de los muertos

Cette fête très joyeuse s’appelle el Día de los Muertos. C’est le moment où les âmes de ceux qui sont partis viennent rendre visite aux vivants aussi bien depuis le paradis que l’enfer et le purgatoire. Il est recommandé de ne pas pleurer à cette occasion même si l’on est triste, car les anciens disent que les larmes rendraient glissants le chemin. Cette fête dure du 30 octobre au 2 novembre.

Tout est fait pour apprivoiser la mort : on lui donne des petits surnoms : la flaca (la maigre), la huesada (l’osseuse), la tia de la muchachas (la tante des femmes) et on la représente de façon ironique, les squelettes dansent, chantent et s’occupent exactement comme des vivants ou en tenue affriolante, fume cigarette de star et plumes. Dans les rues, défilent des squelettes qui dansent (los calacas).

C’est cette fête qui a inspiré alt de Tim Burton.

Extraits de http://info.artisanat-bolivie.com/La-fete-des-morts-en-Bolivie-a171 et http://www.kutchuk.com/halloween/diadelosmuertos/diadelosmuertos.htm.

Claudia Beauregard

 

LES DÉCOUVERTES DE RAYMOND CYR

Dans le cadre de la campagne annuelle, CAP48 lance un film de sensibilisation qui met en scène Yorick, paraplégique depuis son accident il y a près de deux ans, ce qui ne l’a pas empêché de poursuivre sa carrière d’acteur.

À chaque séquence, Yorick nous donne l’impression que sa vie est facile…Il n’en est rien.

Voyez le clip de 27 secondes au http://www.rtbf.be/cap48/cap48tv/sensibilisation2012/.

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Source : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=357638490980220&set=a.200679856676085.48974.200669893343748&type=1