BONNES NOUVELLES!
24 janvier 2014
Tandis que le mercure se promène entre –30 et 10 degrés et que nous peinons à nous adapter en s’habillant en pelures d’oignon, les personnes souffrant d’arthrite et celles ayant des troubles de l’humeur vivent aussi des moments très difficiles. Nous avons de bonnes nouvelles pour vous : des découvertes médicales pourront vous aider!
Ces variations de température et le réchauffement climatique perturbent le cycle de l’eau et entraînent des inondations et des tempêtes. Saviez-vous qu’une étude de l’ONU a révélé que les besoins des personnes handicapées sont insuffisamment considérés dans la préparation aux catastrophes? Depuis octobre dernier, il existe donc un guide de préparation aux urgences que nous vous suggérons de consulter. Êtes-vous prêt(e)?
Toujours à l’international, les Congolais aux prises avec des nombreux engins explosifs dans leurs sols, verront bientôt leurs terres décontaminées grâce à un nouveau dispositif de déminage. Pour ce faire, ils pourront compter sur la contribution de chiens spécialement entraînés. Un bel exemple d’innovation et de collaboration entre l’homme et le chien.
L’actualité nous offre de beaux sujets avec l’arrivée du premier enfant d’une athlète québécoise et l’approche des Jeux Olympiques 2014. Ne manquez pas notre couverture de ces événements! D’une parution à l’autre, Annie Bélanger vous proposera des articles thématiques sur les Jeux Paralympiques qui se tiendront du 7 au 16 mars.
Plus près de nous, et peut-être pour commencer vos résolutions de début d’année, découvrez la pratique de sports d’hiver adaptés. Si l’action vous intéresse mais souhaitez rester bien au chaud, rencontrez Jonathan Poulin, champion canadien de boccia. Il cherche à développer un club dans la région de Laval.
Pour finir en beauté et parce que l’on n’en a jamais assez, nous vous suggérons de consulter les derniers gadgets pour nous faciliter la vie, une contribution d’Henriette Germain.
Bonne lecture!
Claudia Beauregard, directrice du journal
NOS GÈNES NOUS LIVRENT LEURS SECRETS
UNE AUTRE CLÉ DE L’ADN POUR LUTTER CONTRE L’ARTHRITE
Une équipe internationale de chercheurs ont découvert plus de 40 nouveaux points dans l’ADN qui augmentent le risque d’être atteint de polyarthrite rhumatoïde, une forme d’arthrite inflammatoire.
Cette recherche, la plus vaste dans ce domaine, a été menée auprès de 30 000 individus. Les chercheurs ont comparé l’ADN de patients atteints d’arthrite avec celui d’individus non-atteints pour découvrir ces régions vulnérables. Ils ont aussi découvert des points communs avec les personnes atteintes de certains cancers du sang. Cette information pourrait ouvrir la voie à une autre utilisation de médicaments utilisés pour traiter ces malades. Les experts ont bon espoir de trouver une façon de guérir cette maladie en développant des médicaments qui ciblent les points névralgiques identifiés.
Les résultats de la recherche ont été publiés dans le plus récent numéro de Nature.
Le terme « arthrite » est employé pour décrire plus de 100 maladies et troubles rhumatismaux qui affectent une ou plusieurs articulations.
Contexte
- L’arthrite est une maladie qui cause de la douleur due à l’inflammation et des lésions articulaires. Elle est souvent source d’incapacité.
- L’arthrite est l’un des problèmes de santé chroniques les plus fréquents au pays. Plus de 4,2 millions de personnes, soit 16 % de la population âgée de 15 ans et plus, déclarent souffrir d’arthrite.
- La prise en charge de cette affection, qui occasionne un fardeau économique estimé à près de 7 milliards de dollars au Canada, laisse à désirer chez la plupart des personnes atteintes.
- Les traitements contre la douleur arthritique entraînent souvent des effets indésirables graves, particulièrement lorsqu’ils sont administrés pendant de longues périodes.
Source : http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/science/2013/12/26/001-recherche-arthrite-adn.shtml
*Cet article est une collaboration d’Annie Bélanger
LE « GÈNE DU PESSIMISME » IDENTIFIÉ
Une chercheuse de l’Université de la Colombie-Britannique semble avoir identifié ce qu’on risque de commencer à appeler le « gène du pessimisme ».
Photos.com
La professeure Rebecca Todd a déterminé qu’une variante génétique déjà connue amène certains individus à percevoir leurs expériences émotionnelles, et surtout les expériences négatives, de manière particulièrement intense. Le gène en question influence la production de norépinéphrine, une hormone qui joue un rôle dans des domaines comme les émotions, l’attention et la vigilance.
On a présenté, en succession rapide, des mots positifs, négatifs ou neutres aux 200 participants à l’étude. Les participants ayant la variante ADRA2b étaient plus susceptibles de remarquer les mots négatifs que les autres, tandis que les deux groupes percevaient mieux les mots positifs que les mots neutres. Mme Todd a expliqué que ces sujets pourront être plus susceptibles que les autres, par exemple, de repérer les gens en colère dans une foule, ou encore d’identifier des dangers potentiels plutôt que de profiter de la beauté de leur environnement. « Mais gardons en tête que les gènes ne sont qu’une partie de l’équation, a-t-elle indiqué dans un courriel transmis à La Presse Canadienne. Ils vous prédisposent à pencher dans une certaine direction, mais plusieurs autres facteurs, comme vos expériences de vie, influencent aussi grandement votre perception du monde. Notre recherche ne prouve pas que nos gènes causent notre prédisposition, mais elle laisse entendre qu’ils l’influencent. »
L’étude de la professeure Todd est publiée dans le journal Psychological Science.
*Cet article est une collaboration de Claudia Beauregard
ET GUIDE DE PRÉPARATION AUX URGENCES
Extrait de l’allocution fait par l’honorable Steven Blaney, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, à l’occasion de la Journée internationale de la prévention des catastrophes, le 13 octobre dernier.
« La Journée internationale de la prévention des catastrophes nous rappelle l’importance de prendre des mesures afin de réduire les risques de catastrophe. Les inondations survenues récemment dans le sud de l’Alberta et le déraillement d’un train et l’explosion à Lac‑Mégantic, au Québec, démontrent clairement la dévastation que les catastrophes peuvent apporter dans nos villes et nos communautés. Ces événements soulignent la nécessité de renforcer notre environnement social et physique en donnant aux citoyens, aux collectivités, aux premiers intervenants et aux gouvernements les moyens nécessaires afin d’éviter que les risques se transforment en catastrophe et de se remettre de ces événements plus rapidement.
Le thème cette année est « Les personnes handicapées en situation de catastrophe naturelle ». La résilience d’une collectivité peut se mesurer par la capacité de ses citoyens à se débrouiller lors d’une catastrophe. Sécurité publique Canada reconnaît que les personnes handicapées peuvent faire face à des problèmes uniques, et offre un document en ligne intitulé Guide de préparation aux urgences à l’intention des personnes ayant une incapacité ou des besoins particuliers. Le document comprend une liste de contrôle de la trousse d’urgence, une liste de contrôle de la trousse d’urgence pour l’animal d’assistance et des suggestions pour l’établissement d’un réseau personnel de soutien.
Le guide est un travail de collaboration entre le gouvernement fédéral, la province d’Ontario et vingt organismes des secteurs public et privé, qui ont tous été consultés en vue de profiter de leurs compétences spécialisées et leur expertise. J’encourage les personnes handicapées et les personnes dans leur réseau de soutien à se familiariser avec les conseils pratiques présentés dans le document. Le fait de prendre quelques mesures simples aujourd’hui peut faire une grande différence lors d’une situation d’urgence.
J’encourage les premiers intervenants et les gestionnaires des mesures d’urgence à continuer à tenir compte des besoins de divers groupes, comme les personnes handicapées, dans leur planification. »
Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter les sites Web www.preparez-vous.ca et www.securitepublique.gc.ca.
Source : http://www.securitepublique.gc.ca/cnt/nws/nws-rlss/2013/20131013-fra.aspx
Quelques chiffres…
- Près de 6 000 personnes handicapées dans 126 pays ont participé au sondage en ligne sur les mesures de préparation aux catastrophes.
- Lors des évacuations rendues nécessaires par les inondations ou les tremblements de terre, seulement 20 % des personnes interrogées ont répondu qu’elles seraient en mesure d’évacuer immédiatement et sans difficulté, 6 % ont dit qu’ils ne seraient pas en mesure d’évacuer et le reste ont déclaré qu’ils seraient en mesure d’évacuer mais avec difficulté.
- Avec un délai suffisant, le pourcentage de ceux qui pourraient évacuer sans difficulté passerait selon l’étude de 20 à 38 %, ce qui montre l’importance des systèmes d’alerte précoce.
- Les résultats de ce sondage montrent également que 71 % des personnes interrogées n’ont pas de plan de préparation, 31 % ont toujours quelqu’un pour les aider à évacuer et 13 % ont affirmé ne jamais bénéficier d’une telle assistance.
Source : http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=31301&Cr=sipc&Cr1=#.UstAJ_Sk868
*Ce dossier est une collaboration d’Annie Bélanger et Claudia Beauregard
NOUVEL ÉLAN AUX OPÉRATIONS DE DÉMINAGE EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO (RDC)
Handicap International innove dans ses activités de déminage, qu’elle mène en RDC depuis 1995, avec un dispositif « machine – chiens – hommes ». Ces actions font suite au lancement, par le gouvernement congolais en mars 2013, d’une nouvelle enquête sur la contamination des mines et restes explosifs de guerre et pour obtenir une cartographie exacte. Handicap International a ainsi pu identifier 19 zones contaminées et mettre en place la stratégie de destruction des mines et des restes explosifs de guerre encore présents.
Processus de déminage novateur en trois étapes
Tout d’abord, la machine blindée Minewolf débroussaille les terrains à déminer. Suivront deux équipes, chacune composée d’un maître-chien et d’un berger allemand spécialement entraîné à reconnaître l’odeur des explosifs contenus dans les mines et engins de guerre non explosés. En RDC, les terres contiennent souvent une forte teneur en métal occasionnant des fausses identifications des détecteurs de métaux traditionnels qui réagissent à tout métal sans distinction. Le flair canin permet de « marquer l’arrêt » à proximité de la moindre odeur de poudre permettant de marquer la zone avant de faire appel à un démineur manuel qui sondera la zone et complètera le déminage. Sans danger, cette méthode permet de gagner 80 % de temps de déminage.
Til Mayer – Handicap International
Un procédé qui a fait ses preuves
Si ce dispositif est nouveau en RDC, il a fait ses preuves au Mozambique et Adérito Ismaël, chef des opérations de déminage pour Handicap International au Mozambique en rapporte le succès : « Les chiens permettent de déminer plus rapidement de grandes superficies. Les chiens, les hommes et les machines font un travail bien distinct et leur complémentarité permet d’obtenir d’excellents résultats ».
Extrait de http://www.handicapinternational.be/fr/actualites/un-nouvel-elan-a-nos-operations-de-deminage-au-congo.
*Cet article est une collaboration de Raymond Cyr et Annie Bélanger
NOUVELLES DU MONDE OLYMPIQUE
CHANTAL PETITCLERC A ACCOUCHÉ
À 13 ans, une immense porte d’une grange tombe sur elle et la prive de l’usage de ses jambes. Un professeur d’activité physique à l’école secondaire, Gaston Jacques, a une influence déterminante sur elle lorsqu’il la convainc d’essayer la natation pour développer sa force physique et sa résistance. Pour Chantal, c’est un premier contact avec le sport et l’entraînement.
À 18 ans, Pierre Pomerleau, un entraîneur de l’Université Laval, lui fait découvrir l’athlétisme en fauteuil roulant. Utilisant un fauteuil « bricolé », elle participe à sa première compétition et termine bonne dernière, loin derrière les autres concurrentes.
Parallèlement, elle poursuit des études en sciences humaines au Cégep de Sainte-Foy et en histoire à l’Université de l’Alberta, où elle s’inscrit afin de s’entraîner sous la direction de celui qui est toujours son entraîneur, Peter Eriksson.
Chantal dispute ses premiers Jeux paralympiques à Barcelone en 1992, d’où elle revient avec deux médailles de bronze. Par la suite, elle participe aux Jeux d’Atlanta, Sydney et Athènes où elle récolte une médaille olympique et 16 médailles paralympiques.
En 2008, à Beijing, Chantal Petitclerc rafle cinq médailles d’or. Elle remporte les dix dernières épreuves paralympiques auxquelles elle prend part. Elle déclare que les Jeux olympiques d’été de 2008 seront ses derniers, mais qu’elle poursuivra l’entraînement et la compétition pour encore quelques années en se concentrant cette fois sur les courses sur route.
En mars 2009, elle signe une entente avec Gatorade et paraît dans des commerciaux de la marque.
En juillet 2013, elle annonce que la naissance de son premier enfant est prévue pour décembre.
C’est sur sa page Facebook que Chantal Petitclerc annonce la bonne nouvelle :
« Né à Montréal le vendredi 20 décembre, voici Elliot Duhamel, 3,6 kg, notre fils et notre plus beau cadeau de Noël… Tous se portent très bien.
Nous sommes de retour à la maison et Elliot à regarder avec nous son premier film, Inception, tous en pyjamas sur le sofa! Il nous assure que très bientôt c’est lui qui choisira les films.
À vous, votre famille et vos amis, puisse votre temps des fêtes être aussi heureux que le nôtre! »
Extraits de http://fr.wikipedia.org/wiki/Chantal_Petitclerc et http://envedette.ca/stars/nouvelles-stars/chantal-petitclerc-accouche/.
*Cet article est une collaboration de Raymond Cyr
LE RELAIS DE LA FLAMME OLYMPIQUE ET SON PARCOURS EN RUSSIE
Le relais de la flamme olympique représente une grande fête parasportive qui précède directement les Jeux Olympiques d’été et d’hiver. Durant plusieurs mois, des milliers de relayeurs acheminent la flamme olympique à travers le territoire du pays hôte des futurs Jeux, symbolisant l’approche des compétitions.
Les relais ont des traditions éternelles. Après la cérémonie de l’allumage à Olympie, la flamme est transportée à travers la Grèce. Au cours des relais précédant les Jeux Olympiques de 2004 et de 2008, la flamme traversait le monde, mais cette idée a été ensuite abandonnée. Désormais, quand le symbole des futurs Jeux est envoyé dans le pays hôte qui accueille l’étape principale du relais.
La flamme des Jeux Olympiques de 2014 de Sotchi a été allumée sur le sol antique d’Olympie. Le dimanche 6 octobre, la flamme olympique a été remise au président Vladimir Poutine lors d’une cérémonie sur la place Rouge à Moscou.
AFP/Alexander Nemenov
Le plus long relais
Source de l’image : http://media.meltyxtrem.fr/article-1882002-ajust_930-f1383810909/torche-olympique.jpg
Le relais de la flamme olympique des Jeux d’hiver de 2014 représente un grand événement qui touchera la quasi-totalité des vastes territoires russes. La flamme olympique sera acheminée par le biais de 83 régions de la Fédération de Russie. Près de 90 % de la population pourra voir le relais.
La flamme doit parcourir en 123 jours quelque 65 000 km à travers toute la Russie, le parcours le plus long de toute l’histoire olympique. Elle passera par le pôle Nord sur un brise-glace à propulsion nucléaire, gravira le mont Elbrouz, plus haut sommet d’Europe et descendra au fond du lac Baïkal. La flamme arrivera à Sotchi pour la cérémonie d’ouverture des Jeux, le 7 février.
Parmi les porteurs de flambeau, notons le professeur Vladimir Spesivtsev et les athlètes paralympiques Viktoria Lvova, Alekseï Achapatov, Roman Doubovoï, Macha Iovleva, Ivan Kassin, Mikhaïl Oïoun, Timour Toutchinov et Fiodor Trikolitch.
Arrêt à la station spatiale internationale
Les responsables russes ont même envoyé un flambeau dans l’espace, mais sans flamme. Le 7 novembre, il s’envolait du cosmodrome russe de Baïkonour, dans les steppes du Kazakhstan, à bord d’un Soyouz, et revenait sur Terre le 11.
La sécurité, un enjeu majeur
AFP/Kirill Kudryavtsev
Environ 12 000 policiers sont mobilisés sur le parcours de la flamme. La sécurité est un enjeu majeur des Jeux et le départ du relais s’est fait sur fond de révélations d’une surveillance policière sophistiquée des communications. Des experts en sécurité ont affirmé que la Russie disposerait à Sotchi d’un système baptisé SORM qui donnera au Service fédéral de sécurité russe (FSB, successeur du KGB de l’époque soviétique) l’accès à toutes les communications téléphoniques et par Internet, a déclaré à l’AFP l’expert en sécurité et journaliste indépendant Andreï Soldatov. Amnistie internationale a d’ailleurs profité du départ du relais de la flamme pour lancer une campagne mondiale pour dénoncer les violations des droits de l’homme en Russie.
Un nombre record de relayeurs participera à l’événement. 14 000 personnes auront l’occasion de porter la flamme olympique sur le territoire de la Russie. Près de 30 000 volontaires prendront part au relais.
Extrait de http://torchrelay.sochi2014.com/fr/relais et http://olympiques.radio-canada.ca/nouvelles/article/poutine-feu-dans-les-yeux-27935.html.
*Cet article est une collaboration d’Annie Bélanger
SPORTS D’HIVER ADAPTÉS À DÉCOUVRIR!
PROFITEZ DE L’HIVER AVEC LE SKI-VEL
Afin de rendre accessibles les sentiers de randonnée pédestre hivernaux aux personnes à mobilité réduite, les parcs nationaux du Bic, des Îles-de-Boucherville, du Mont-Orford, du Mont-Saint-Bruno, du Mont-Tremblant et d’Oka se sont dotés d’un tout nouveau produit : le Ski-Vel. Cet équipement permet ainsi le déplacement sur les sentiers de neige. Il est offert gratuitement au centre d’accueil de chacun des parcs.
Source : http://www.keroul.qc.ca/nouvelles/64-profitez-de-l-hiver-avec-le-ski-vel.html
CHALLENGE HIVERNAL ADAPTAVIE
Le Challenge Hivernal Adaptavie est de retour pour une 4e édition. Cet événement s’adresse aux gens ayant une déficience motrice, visuelle, auditive ou intellectuelle qui désirent expérimenter ou participer à une compétition de sports adaptés. En 2014, treize disciplines seront présentées, dont notamment le ski para-alpin, la raquette adaptée, le ski de fond adapté, le hockey sur luge, le curling en fauteuil roulant, etc.
Nous vous invitons à participer à cette nouvelle édition qui se tiendra du 8 février au 30 mars 2014, à Québec. Pour vous inscrire : www.challengehivernal.org.
Source : http://www.keroul.qc.ca/nouvelles/66-le-challenge-hivernal-adaptavie.html
*Cet article est une collaboration d’Annie Bélanger
UN CLUB BOCCIA À LAVAL
Jonathan Poulin, champion canadien de boccia en classe BC4 et passionné par le jeu du boccia, vous invite à vous joindre au projet de création d’un club de boccia à Laval. Il veut vous faire découvrir ce sport malheureusement très peu connu en Amérique du Nord.
Très populaire et reconnu en Europe depuis longtemps, le boccia – d’origine italienne – est un sport unique qui peut être pratiqué par tous. Discipline paralympique, au jeu du boccia, les hommes et les femmes jouent ensemble, individuellement, en pair ou en équipe. Les athlètes peuvent jouer avec ou sans appareil fonctionnel et en utilisant les mains ou les pieds pour lancer ou diriger la boule. C’est un sport qui fait appel à la tactique, à la technique, au physique et à l’esprit. C’est un jeu où tout peut arriver.
Jonathan Poulin participe maintenant à des compétitions à travers le monde entier et est un fier représentant du Canada, au pays et à l’international.
Les résidents de Laval et des environs désireux de bouger et de découvrir ce sport peuvent contacter Jonathan Poulin par l’entremise de son site Internet www.jonathanpoulin.ca pour de plus amples renseignements.
Sources : www.jonathanpoulin.ca et page Facebook de l’athlète
*Cet article est une collaboration d’Annie Bélanger
LES DÉCOUVERTES DE…
Serrure intelligente Okidokeys
Au lieu d’utiliser la clé traditionnelle, l’utilisateur peut choisir d’ouvrir sa maison ou tout autre lieu équipé du système directement via son iPhone ou à l’aide d’une clé virtuelle (carte ou bracelet). Sera offert à 179 $ dès le printemps 2014.
Détails : http://www.youtube.com/watch?v=UT6pqDW_gyE et http://iphoneaddict.fr/post/news-117434-okidokeys-ouvre-ferme-serrure-dune-porte-iphone
Aspirateur robot
Évaluation de Protégez-vous : Qui n’a jamais rêvé de ne plus passer l’aspirateur ou le balai ? Roomba, l’aspirateur robot aux allures de soucoupe volante fabriqué par iRobot, arrive à la rescousse. Même si, au premier regard, l’appareil a plutôt l’air d’un gadget, les essais techniques ont été couronnés de succès et la petite machine s’avère franchement étonnante. 499 $ chez Canadian Tire
Son efficacité diminue beaucoup sur le tapis, mais la fonction « spot », qui force l’appareil à s’acharner sur un dégât localisé, le fait redoubler d’ardeur. Le résultat n’est pas toujours parfait, mais il peut venir à bout en quelques secondes des salissures d’un pot de fleurs renversé.
Le petit volume de son réservoir convient à une utilisation régulière plutôt qu’au gros ménage mensuel. En effet, cet aspirateur robot est conçu pour un nettoyage continuel, quasi quotidien.
Mais ne vous attendez pas à regarder la télévision pendant que le Roomba nettoie votre salon, car malgré sa petite taille, il est bruyant.
Détails : http://vimeo.com/69261017 et http://vimeo.com/69260836
Pelle à neige électrique
Cette pelle vous évitera de soulever de lourdes charges, mais elle n’est pas conçue pour les grosses bordées.
Détails : http://vimeo.com/53159698
Et…
Dans un autre ordre d’idées, j’ai retenu ce dernier vidéo de Protégez-vous qui nous conseille sur l’achat de croustilles (sans toutefois recommander la consommation de ce produit!)
Détails : http://vimeo.com/66246582
Henriette Germain