Avril 2013

 

Voici un résumé des discussions des participant(e)s au chat, en avril.

 

2 avril 

L’épanouissement dans le travail ou les activités dépend de différents facteurs :

  • Faire ce que l’on aime, concrétiser un projet de vie
  • Se sentir utile
  • Se dépasser
  • Subvenir à ses besoins
  • Être reconnu par ses pairs
  • Équilibrer le temps de travail et le temps libre

Lorsque l’impression de tourner en rond ou s’ennuyer est trop présente, il importe de faire du changement.

Au sein de notre organisme, quelqu’un peut aider à explorer d’autres avenues en fonction des capacités, intérêts et besoins.

 

9 avril

Six participants font le pas vers Skype.

Pour respecter l’intimité de chacun(e), il est convenu que le chat se fasse par écrit, sans téléphone ni vidéo. De plus, il n’est pas question de contacter les gens à tout propos entre les rendez-vous du mardi soir.

Les personnes intéressées à se joindre au groupe Le tchat de Handi-Capable peuvent faire leur demande de contact à francis3253 (Francis Renaud Boulet, Drummondville) pour se joindre au groupe. Si vous avez besoin d’aide, contacter handicapable.bureau@gmail.com pour recevoir le document Procédure pour Skype et le chat.

Une habituée a aidé les débutants à se familiariser avec le nouveau logiciel.

Comment modifier l’affichage des caractères?

Cliquer Outils, Options…, Conversations et SMS, Apparences et Modifier

Choisissez la police et la taille d’écriture qui vous convient, et le tour est joué! Vous lisez mieux, pas vrai?

 

16 avril

Après avoir lu les articles : http://www.rts.ch/video/emissions/mise-au-point/513853-metier-assistant-sexuel-pour-handicapes.html et http://archives.tdg.ch/geneve/actu/assistant-sexuel-droit-sensualite-2009-06-02, il y a eu des échanges au sujet des aidants sexuels pour les personnes handicapées.

Voici quelques points

Nous ne pouvons pas nier l’importance des relations affectives et sexuelles pour toute personne adulte.

Ce ne sont pas tous les handicapés qui n’ont plus de besoins sexuels. Certains ne peuvent plus marcher ou bouger les bras, mais ils ont encore des besoins sexuels et sensuels.

C’est quelque chose de très intime et personnel.

Les assistants sexuels n’accomplissent pas l’acte sexuels avec la personne handicapée. Ce ne sont pas des escortes ou des prostitués payés. Ce sont des gens qui sont là pour aider, par exemple à se positionner, etc.

La formation des assistant(e)s devrait contempler une sérieuse réflexion sur la dimension éthique.

Ça prendrait des sexologues qui connaissent bien de la personne handicapée et de leur handicap (leurs limitations).

Les médias sociaux font qu’une question qui était nationale (France) devient une actualité mondiale.

Et quelques questions

Quelle serait la formation adéquate pour les assistants et assistantes?

Qu’en pensent les centres de réadaptation, les organismes et l’OPHQ?

La sexualité est un thème abordé librement en société… Est-ce une question générationnelle?

 

23 avril

Les médias sociaux permettent aux gens de rester en contact. Cela permet de :

  • voir la vie de sa famille qui vit au loin et leur transmettre plein de photos;
  • se faire de nouveaux amis grâce à des intérêts communs;
  • retrouver des personnes que l’on a pas vues depuis longtemps, parfois plus d’une dizaine d’années.

Ça pourrait être un excellent outil de travail, si tout le monde ne mettrait pas n’importe quoi.

À la base, se sont des outils de divertissement.

Il faut donc trier ce que l’on accepte ou bloque.

La prudence est toujours de mise pour de nouvelles rencontres, car il y a des personnes qui mentent sur leur profil (âge).

 

30 avril

Que ce soit à Sherbrooke ou à Drummondville, les participants ont accès à des espaces de jardinages adaptés à leurs besoins.

La Ville de Sherbrooke prête des espaces à Handi-Capable pour permettre à ses membres de jardiner. Quatre bacs surélevés sur des blocs de ciment sont situés au parc Maillé, dans le secteur Fleurimont.

Deux bacs sont aussi disponibles aux personnes à mobilité réduite qui habitent tout près du jardin communautaire, rue Bowen Sud.

Le jardin Le Coureur, situé au parc St-François dispose d’allées assez larges pour faciliter la cueillette des produits qui poussent en hauteur. Les bacs étant bas, une membre capable de se pencher peut cueillir les produits des bandes autour.

Un résident de Drummondville dispose d’un bac de 3 X 8 pieds, à sa hauteur.

Nous parlons de ce que nous prévoyons semer cette année : concombres citron, fèves, fines herbes, variétés de laitue, radis, tomates, zucchinis, etc.

Une jardinière a déjà des pousses en cours de croissance à la maison.

 

L’idée de visiter notre membre de Drummondville est lancée. Il nous propose de découvrir le parc Woodyatt et passer au Mondial des cultures.

 

Nous nous informons aussi d’une participante qui est absente du chat. Quelqu’un lui a parlé. Elle va bien, mais est occupée.

Claudia Beauregard, pour Handi-Capable