Voici un résumé des discussions des participant(e)s au chat, en juin.
Quelqu’un expose être mieux accepté par sa famille maternelle alors qu’il ressent un malaise, de la pitié de la part de sa famille paternelle. Heureusement, sa belle-famille l’accepte à 100 %.
« Il faut voir l’être humain, la personne au-delà du handicap. Par exemple, les aveugles voient avec leur cœur. »
« Parfois, il faut déployer beaucoup d’énergies pour prendre les autres face à nous et notre handicap. La psychologie est de mise! »
« Il ne faut pas être à la merci de ceux qui s’apitoient, car cela risque de faire perdre de vue les objectifs de vie personnels. »
« À un moment donné, il faut lâcher prise. »
Cela soulève l’indignation, certes. Au Québec, c’est difficile de poursuivre pour négligence…
Heureusement, les médecins font aussi des bons coups. Deux participants expliquent qu’ils sont parmi nous parce qu’ils ont pu être réanimés.
Une personne mentionne que ses voisins sont tous âgés. Ce fait amène une personne à signaler que « les personnes âgées sont souvent plus proches de notre réalité. Parfois, il y en a qui savent qu’ils prendront le même chemin que nous… »
De nouveaux propriétaires de dépanneur sont décidés à faire une rampe accès pour que l’on puisse venir magasiner. Bonne nouvelle! À suivre!
1. Une seule personne semble apprécier le magasinage.
2. De même, une personne aime écrire, que ce soit des poèmes ou des articles.
3. Parmi les participants, une personne est plus sportive : équitation et canot.
4. Une seule personne écrit faire du bénévolat.
5. Pour la mère d’un jeune enfant, s’en occuper prend bien de son temps.
6. Une personne connaît le langage des signes québécois.
7. Une personne aimerait voyager davantage, une autre retournerait volontiers à Paris.
8. Trois participants aiment jardiner.
9. Tous lisent. Il y a beaucoup de diversité dans les lectures : suspense, action, biologie, biographie, historique, roman historique, livre d’histoire, roman, mythologie, romans policiers, lire pour apprendre sur le développement personnel et le monde des affaires.
Deux personnes lisent en français et en anglais.
Lire en anglais coûte moins cher et quand l’auteur est américain la mise en page et les ornements sont plus beaux.
10. Une participante joue à des jeux de société et aux cartes chaque vendredi avec un groupe d’amis. Les jeux de cartes mentionnés sont : joker rummy, boules (genre Wizard) et 8.
Une autre joue de temps en temps avec sa fille qui apporte des jeux de société.
Une personne joue « parfois sur Facebook 10 minutes quand j’ai besoin de changer d’air, mais sinon pas vraiment. »
Deux personnes aiment regarder les gens jouer et ça les incite à participer ensuite.
11. Le visionnement d’émissions de télévision est aussi un passe-temps pour tous.
De vieux titres tels Hercule Poirot, Miss Marple, Arabesque, Mission : impossible, L’agence tous risques et La petite maison dans la prairie sont memtionnés.
Trois personnes ont bien aimé.
Une personne a trouvé que cinq épisodes, « ce n’est pas assez long, à mon avis »
l’avertissement que le contenu n’était pas pour coeurs sensibles a fait (sou)rire deux personnes. Il faut un avertissement pour regarder nos vies!?
Une personne a été irritée après cinq minutes de visionnement, car écrit-elle : « J’ai trouvé très désagréable le comportement du personnage principal qui se prend pour le plus handicapé et le seul à souffrir, qui ne voit pas que sa famille et que la seule chance qui lui reste est de voir le positif. » Elle témoigne : « Ni mes parents ni moi n’avons réagis de cette façon. Des personnes, amis handicapés parlent de la même façon que le personnage et je peste toujours. »
Deux personnes qui ont vu la minisérie expliquent qu’il s’agit là d’une réaction normale causée par le choc. Bien sûr, il y a d’autres façons de réagir à un accident et une perte énorme! Il faut retenir que, dans les épisodes suivants, le personnage évolue.
Cinq minutes plus tard, la personne expliquera : « Plus de peur que de mal désolée! L’alarme a été déclenchée par une personne en crise, pas de feu heureusement!!! Je tremble de partout! Merci d’être là gang! »
Presque tous veulent leur maison adaptée. Se faire bâtir serait la meilleure solution. En effet, c’est plus facile de la faire comme il faut dès le début au lieu de l’adapter après. Quelqu’un se voit habiter un domaine avec un immense garage de voitures tout adapté et maisonnette pour aidants, en plus d’avoir deux chiens et trois chats. Un autre veut deux loyers attenants à sa maison pour les personnes qui dispensent des services, avec un chien et deux chats.
Tous les participants au chat discutent de boulot rémunéré, sans abus. Dans le cas où son aidant serait en couple, une personne ajoute : « Je lui permettrais de vivre avec sa conjointe pour que ce soit agréable pour lui aussi. »
Une participante expose : « Je sais que l’Europe est moins accessible à cause des vieux bâtiments. Alors JE NE ME PRIVERAIS pas d’avoir mon beau musclé comme compagnie pour pouvoir aller où je veux. » Une personne l’informe qu’« il y a beaucoup de chemins goudronnés ou en béton. Les vieux pavés sont moins courants. » Une personne ajoute : « J’ai un ami qui a eu moins de troubles en Europe. Ça a l’air que l’aide des gens compensent pour l’architecture. »
Partir une fondation pour animaux
Gâter son couple et aider des associations
Adopter un enfant
Essayer tous les traitements contre la douleur, entre autres pour pouvoir dormir la nuit
Posséder un van adapté
Investir dans un projet de recherche visant à solutionner toutes les allergies aux animaux, car ils font tant de bien
Sur le plan économique
Faire des placements dans l’immobilier
Acheter des logements s’assurer du roulement de capital
Placer ses avoirs dans différents portefeuilles pour ne pas tout perdre en cas de fraude ou de un crash
* À ce sujet, des gens témoignent que leurs placements font des petits ou ont souffert au début du nouveau millénaire.
Une personne affirme que l’épargne est une forme de gain à la condition de guider son portefeuille. Une personne dit épargner en ramassant tout son change. C’est efficace et pas bête du tout.
Votre vie changerait-elle totalement?
Une participante veut continuer à travailler, « car je suis bien trop jeune pour la retraite », précise-t-elle.
Une autre souhaite rester la même personne, mais se payer plus de choses
Une troisième renchérit : « Ma vie ne changerait pas, car je ne me sens pas dans le besoin. Je n’aurais simplement plus peur de partir en voyage. »
Deux participantes ne font pas de collection.
Plus jeunes, l’une collectionnait les trolls et les poupées Barbie.
L’autre personne recevait une poupée de porcelaine à chaque séjour à l’hôpital. Elle en a une dizaine. Elle dormait quasiment avec, car elles entouraient son lit. En raison de leur très grande fragilité, elle a dû les laissées dans son pays natal. En effet, « vu comment ils traitent les bagages et les colis dans les aéroports elles seraient en miettes! »
Quelqu’un collectionne les cartes de hockey, cartes de souhaits, macarons et disques de vinyle.
Une personne écrit que, plus jeune, elle collectionnait les collants et les figurines de Schtroumpfs. Elle possède toujours le schtroumpf et la schtroumpfette mariés qui trônaient sur leur gâteau de noces.
Maintenant ce sont les antiquités qui ont mon intérêt : tout ce qui est musique et des pièces de mobiliers dont des articles de cuisine. Elle a des 78 tours, quelques 45 tours en couleur et un phonographe HMV. « Plus ça a d’histoire plus ça me parle », explique-t-elle.
Une personne collectionne les papillons faits en plumes, papier, plastique, aimants, signets, etc. Elle en a utilisés une quarantaine pour fabriquer, avec de l’aide, un mobile à huit branches suspendu au plafond dans sa chambre.
Quelqu’un l’informe qu’il existe des collants papillons dans les papeteries. Elle essaiera d’en trouver.
Une autre participante se rappelle que des oursons mariés étaient sur son gâteau. Un couple de participants exprime qu’ils mettraient des chiens, car ils aiment tous deux cet animal de compagnie. L’autre personne n’a aucune idée. Quelqu’un y verrait une plume et un triskell breton « ou une coiffe bretonne » selon l’interpellée. Elle mentionne que son cousin et sa cousine avait pris l’idée biculturelle (marocaine et bretonne) pour leur mariage.
Une participante explique que son mari était « breton de son coté paternel et algonquin du cote maternel ». Il s’en suit une discussion sur le caractère fort. Une mère cite alors des exemples concernant son jeune fils : « Quand un jouet ne fonctionne pas à son goût, il le jette et lui hurle dessus et quand il tombe, il gueule sur ses pieds. » Elle précise que ce sont plus des colères pour faire rire papa et maman que des vraies crises.
– C’était très bien.
– Même si on était peu parfois, il avait toujours une grande énergie.
– La transition vers Skype s’est bien passée avec l’aide d’un super document et des notions expliquées par une participante.
L’animateur remercie les autres pour leur support et leur présence.