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Journée internationale des personnes handicapées 2014

Un thème au goût du jour!

La preuve n’est plus à faire : les avancées technologiques récentes représentent un atout pour l’ensemble de la population, et peuvent s’avérer des facilitateurs importants de la participation sociale des personnes handicapées. 

C’est pourquoi, cette année, l’Organisation des Nations Unies (ONU) a retenu le thème La technologie, au service de la participation sociale des personnes handicapées! (adaptation libre du thème anglais Sustainable development : the promise of technology). 
En effet, les innovations technologiques contribuent, par exemple :

  • à l’aménagement de lieux de travail accessibles;
  • à une communication facilitée pour les personnes ayant une incapacité auditive, liée à la parole ou au langage, intellectuelle ou liée à un trouble du spectre de l’autisme;
  • à des déplacements simplifiés pour les personnes ayant une incapacité liée à la mobilité;
  • à un meilleur repérage, à la lecture ou à l’utilisation d’un ordinateur pour les personnes ayant une incapacité visuelle;
  • à des techniques d’apprentissage appropriées pour les personnes ayant une incapacité intellectuelle ou liée à un trouble du spectre de l’autisme;
  • etc.

La liste pourrait être très longue! Ce qu’on doit en comprendre, c’est que la technologie permet d’adapter l’environnement des personnes handicapées afin d’améliorer significativement la réalisation de leurs activités courantes et de leurs rôles sociaux tels qu’étudier, travailler, participer à des activités de loisirs… bref, d’accroître leur participation sociale.

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La technologie au travail

À l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées 2014, l’Office souhaite accorder une attention particulière au rôle incontournable de la technologie dans l’aménagement de lieux de travail accessibles. 

Vous ne connaissez pas les équipements de bureau adaptés aux personnes handicapées? L’Office vous invite à consulter son guide et son cyberbulletin spécialement dédiés à l’approvisionnement accessible!

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Une remise de prix qui donne l’exemple

C’est dans le cadre de la Journée internationale des personnes handicapées que se tiendra la prochaine cérémonie de remise du Prix À part entière. Cet évènement prestigieux rendra hommage à quatre individus ou organisations qui contribuent à accroître la participation sociale des personnes handicapées.  Visitez sans tarder la section Web du Prix À part entière pour en savoir davantage sur les finalistes de votre région ou sur les lauréats et lauréates des éditions antérieures!

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Une occasion de faire votre part 

Si la participation sociale des personnes handicapées vous tient vous aussi à cœur, la Journée internationale des personnes handicapées constitue une occasion privilégiée de faire votre part. 
Comment? Une panoplie de possibilités s’offre à vous! Soyez des relayeurs d’information, encouragez la réflexion, prenez des initiatives, mais surtout, parlez-en! 

Voici quelques idées :

  • annoncer la Journée dans le site Web, dans l’intranet, dans le bulletin d’information et dans les autres outils de communication de votre lieu de travail;
  • inviter une personne handicapée ou un employeur à faire un témoignage à propos des adaptations qui ont été nécessaires dans le cadre du travail;
  • animer une discussion au sujet de ce qu’un lieu de travail accessible représente pour chacun et pour chacune;
  • faire connaître à votre employeur ou aux employeurs de votre région le guide sur l’approvisionnement accessible de l’Office.

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Du matériel promotionnel spécialement préparé par l’Office

Mettez un peu de couleur dans vos outils de communication à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées! De nombreux bandeaux et boutons Web sont disponibles dans la page des outils de communication développés par l’Officepour la Journée internationale des personnes handicapées

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Une petite leçon d’histoire

C’est en 1992 que l’ONU a désigné le 3 décembre en tant que Journée internationale des personnes handicapées, alors que se terminait la Décennie des Nations Unies pour les personnes handicapées (1983-1992). Depuis, chaque année, des célébrations et des évènements sont tenus dans le monde entier afin de sensibiliser  la population à la participation sociale des personnes handicapées et aux façons de rendre la société plus inclusive.

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Une journée à célébrer, mais pourquoi?

Tous les êtres humains naissent libre et égaux en dignité et en droits. C’est ce que déclare le premier article de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Des mesures doivent donc être prises, partout dans le monde, afin de favoriser l’accès à l’emploi, à l’éducation, aux soins de santé et aux autres sphères de la vie en société pour les personnes handicapées. Plus encore, tous et toutes sont invités à agir contre les préjugés et la discrimination à leur égard. 

C’est la société tout entière qui profite de la participation sociale des personnes handicapées!

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Quelques chiffres pour mieux comprendre la prévalence de l’incapacité

L’Organisation mondiale de la santé estime qu’un milliard de personnes, soit environ 15 % de la population mondiale, ont au moins une incapacité. Près de 80 % de ces personnes vivent dans les pays en voie de développement. 

Devant ce constat, 150 États membres des Nations Unies, dont le Canada, ont ratifié la Convention relative aux droits des personnes handicapéesde l’ONU, convention qui vise à « promouvoir, protéger et assurer la pleine et égale jouissance de tous les droits de l’homme et de toutes les libertés fondamentales par les personnes handicapées […] ». 
Au Québec, selon l’Enquête québécoise sur les limitations d’activités, les maladies chroniques et le vieillissement 2010-2011:

  • l’incapacité touche environ 33 % des personnes de 15 ans et plus vivant en ménage privé ou en ménage collectif non institutionnel. Si on tient compte de la gravité de l’incapacité, 22,6 % des Québécois et des Québécoises ont une incapacité légère alors que 10,7 % ont une incapacité modérée ou grave;
  • environ la moitié (45 %) des personnes avec incapacité occupent un emploi, alors que 12 % sont sans emploi;
  • la population avec incapacité présente un portrait social et économique moins favorable que celle qui est sans incapacité;
  • bien que la majorité d’entre elles reçoivent de l’aide, presque 50 % des personnes ayant besoin d’aide pour leurs activités de la vie quotidienne ou domestique déclarent un besoin non comblé.

De plus, selon le rapport Vivre avec une incapacité au Québec(p. 130), la moitié des personnes avec incapacité de 15 ans et plus et les deux tiers de celles de 75 ans et plus utilisent des aides techniques (fauteuil roulant, prothèse, lecteur d’écran, téléphone adapté, etc.).

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Pour en savoir plus

N’oubliez pas de visiter la page officielle de la Journée internationale des personnes handicapées 2014(page en anglais), dans le site Web de l’ONU. Elle vous apportera, entre autres, des renseignements supplémentaires sur le choix du thème de cette année et sur les différentes actions de l’ONU

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Projet de loi 10

OPHQ Express-O Volume 8, numéro 7 – 19 novembre 2014
 

Projet de loi 10

Les futurs établissements régionaux et suprarégionaux seront assujettis à la Loi

 

Les futurs établissements régionaux et suprarégionaux seront assujettis à la Loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale. C’est ce qu’a confirmé le ministre de la Santé et des Services sociaux, monsieur Gaétan Barrette, lors du passage de l’Office des personnes handicapées du Québec à la Commission de la santé et des services sociaux, le 30 octobre dernier.

 

L’Office y présentait son mémoire sur le projet de loi no 10, Loi modifiant l’organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l’abolition des agences régionales. Le ministre répondait ainsi à l’une des principales préoccupations de l’Office en lien avec la réorganisation proposée.

D’entrée de jeu, l’Office avait confirmé son adhésion aux visées du projet de loi. De fait, il juge fondamentale l’idée de favoriser et de simplifier l’accès aux services, d’améliorer la qualité et la sécurité des soins, et d’accroitre l’efficience et l’efficacité du réseau.

L’Office avait fait valoir que le projet de loi représentait une opportunité de faire un pas supplémentaire dans l’application, au sein du réseau de la santé et des services sociaux, de l’approche de responsabilisation préconisée par la Loi. En ce sens, il a dit souhaiter que les nouveaux établissements régionaux et suprarégionaux soient assujettis aux obligations actuellement faites aux agences de la santé et des services sociaux.

Par ailleurs, l’Office a rappelé que l’accès, la complémentarité et la coordination des services figurent parmi les priorités de la politique gouvernementale À part entière. À ce propos, il a suggéré qu’une intégration régionale de celles–ci, découlant du regroupement des missions en matière de santé et de services sociaux au sein d’un même établissement assujetti aux dispositions de la Loi, pourrait s’avérer profitable.

L’Office a finalement insisté sur le caractère déterminant des modalités de la mise en œuvre du projet de loi. À cet effet, il a recommandé que soit élaboré un processus de suivi de cette mise en œuvre et d’évaluation de ses impacts à court, moyen et long termes sur l’offre de services aux personnes handicapées. En terminant, l’Office a réitéré au ministre son offre de contribuer activement aux travaux qui auront cours, conformément au rôle qui lui est dévolu par la Loi.

« L’accueil réservé à nos recommandations, l’écoute et l’intérêt manifestés à l’égard de nos commentaires et, surtout, le ton sans équivoque employé par le ministre pour nous confirmer la reconduction intégrale des responsabilités à l’égard de la Loi aux futurs établissements régionaux et suprarégionaux nous satisfont. Nous envisageons avec optimisme l’idée de collaborer à la mise en œuvre du projet de loi no 10 », a confié la directrice générale par intérim de l’Office, madame Anne Hébert, au terme de l’exercice.

Des membres de Handi-Capable s’expriment ici dans : Inquiétudes autour du transport adapté

Des membres de Handi-Capable s’expriment ici dans : Inquiétudes autour du transport adapté

Publié le 13 novembre 2014 à 06h41 | Mis à jour à 06h41

 

(De Handi-Capable nous reconnaissons dans cette photo : Jean-François Denis, Diane Gagné, Guy Dumoulin, Maurice Richard et Marc Pilon. – Et Colette Jean qui témoigne, voir le paragraphe en rouge brique.)

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Une vingtaine de personnes ont formulé leurs inquiétudes devant une diminution potentielle du service de transport adapté.

 

IMACOM, JOCELYN RIENDEAU

 

JONATHAN CUSTEAU
La Tribune

(SHERBROOKE) Ils étaient une vingtaine de citoyens entassés dans l’exigu local d’assemblée de la Société de transport de Sherbrooke (STS), mercredi, au centre communautaire de l’arrondissement Jacques-Cartier, pour exprimer leurs inquiétudes liées au service de transport adapté. Retards au travail, difficultés à joindre un répartiteur et craintes d’une révision des critères d’admissibilité ont été abordés.

 

La coordonnatrice du Regroupement des usagers du transport adapté de Sherbrooke métropolitain (RUTASM) France Croteau a affirmé avoir appris que les critères d’admissibilité au transport adapté seraient revus pour diriger une partie de la clientèle vers le service régulier.

« Ça en exclurait plusieurs qui ne sont pas capables de prendre le transport urbain. L’accès aux biens et services de la société serait compromis pour les personnes à mobilité réduite. Ces personnes devraient donc payer un accompagnateur pour les aider à prendre le transport urbain, s’en remettre à des bénévoles ou se tourner vers les membres de leur famille. Elles seront à la merci de la disponibilité des autres et sortiront moins. C’est toute l’intégration des personnes handicapées qui est en jeu. »

Mme Croteau craint aussi que des personnes âgées en perte de mobilité ou qui ont des problèmes de mémoire se retrouvent perdues dans le réseau régulier.

La coordonnatrice du RUTASM a aussi demandé un ajout de services les fins de semaine « pour éviter de pénaliser les personnes handicapées. Réduire ces transports vers des activités de loisirs, c’est carrément dire que ce n’est pas important alors que pour eux, l’intégration passe par ces loisirs ». Elle a du coup déploré que la ligne pour réserver un transport soit constamment engagée et suggère qu’on ajoute un ou des répartiteurs.

François Desmarais, qui s’était aussi présenté au conseil municipal la semaine dernière, a déploré que des nouvelles directives obligent les chauffeurs à déposer les usagers à plus de 500 mètres de l’entrée du Maxi-Club du Centre Sherbrooke (anciennement place Belvédère). Les personnes à mobilité réduite doivent donc parcourir 500 mètres pour se rendre au gymnase, ce qui en a convaincu plusieurs d’abandonner l’entraînement. « Le propriétaire Marc Jalbert nous dit qu’il y a neuf pieds et trois pouces entre le sol et le plafond et que ça laisserait amplement d’espace pour les minibus », a insisté M. Desmarais.

Le président de la STS, Bruno Vachon, a réfuté cet argument. « Il faut dix pieds et un pouce pour que le minibus puisse circuler, donc c’est impossible. Un aménagement a été prévu pour entrer par l’arrière, mais il n’était pas accessible lors de notre visite. Nous suivons le dossier et nous ne prendrons pas des semaines pour le régler. Nous cherchons une solution. »

Colette Jean, qui travaille dans un bureau du gouvernement, est forcée de se présenter au travail en retard depuis quelques semaines. « Je commence à 7 h 15. Le transport adapté est offert à partir de 7 h. J’étais la première utilisatrice de la journée et je n’avais pas de problèmes jusqu’à quelques semaines. Le transport s’arrête maintenant pour faire monter une autre passagère en chemin. J’arrive donc avec dix minutes de retard, que je dois reprendre sur ma pause café. Je trouve ça inacceptable. On m’a carrément dit de prendre des arrangements avec mon employeur. Mon employeur n’a pas à s’adapter à mon horaire. »

Bruno Vachon a voulu se faire rassurant. « Nos décisions ne sont pas prises pour couper du service. Le but est d’optimiser, d’en offrir plus à moindre coût. Nous ne sommes pas insensibles à ce que nous entendons ce soir (hier) », a-t-il mentionné en ne manquant pas de rappeler qu’il fallait tout de même respecter les budgets.

Enfin, il a invité les usagers mécontents à formuler leurs plaintes au service à la clientèle pour permettre d’assurer un suivi immédiat aux situations problématiques.

Surdite chez les autochtones

Surdité chez les Autochtones Inuits du Québec …

 

Surdite Autochtones 

 

Au Nunavik, près de 20 % des enfants entendent mal. C’est aussi le cas de 75 % des hommes d’âge mûr. Mais il existe des solutions : des systèmes de sonorisation dans les classes et des travailleurs inuits spécialisés en audition, les siutilirijiit.

Dans les écoles du Grand Nord québécois, de nombreux enfants ne comprennent pas les explications de leur enseignant. Ce n’est pas de la mauvaise volonté… Près de 20 % des jeunes Inuits présentent un problème auditif – presque 10 fois plus que chez les enfants du reste du Québec.

Des photos et des explications relevant la condition des Inuits en cliquant ici.

Pour consulter la chronique de la journaliste de Radio-Canada Catherine Dubé cliquez ici.

Source: l’Actualité et Radio-Canada

http://www2.lactualite.com/multimedia/photoreportage/surdite-chez-l…

Voyez aussi cet article et d’autres dans le très bon journal communautaire de l’ASE (Association des Sourds de l’Estrie) http://www.sourdestrie.com/journal/

Manif 31 oct 2014

Handi-Capable : Dans la rue contre l’austérité

Publié le 31 octobre 2014 à 23h43 | Mis à jour le 31 octobre 2014 à 23h43 

Manif

Alain Goupil
La Tribune

(Sherbrooke) Les mesures d’austérité que s’apprête à annoncer le gouvernement Couillard ont mobilisé près de 800 manifestants vendredi dans les rues de Sherbrooke, venus dénoncer ce qu’ils appellent le «carnage» et «le massacre à la libérale» des services publics.

Partie de l’école Mitchell, la manifestation tenue sur l’heure du dîner s’est arrêtée en cours de route devant l’édifice Yvette-Rousseau, rue Belvédère Nord, qui regroupe divers services du gouvernement du Québec, devant le Centre de formation pour adultes Saint-Michel, dans la côte King, pour finalement s’arrêter au carré Strathcona, devant l’hôtel de ville de Sherbrooke.
Outre les principaux syndicats de la fonction publique (FTQ, CSN, CSQ, etc.), on retrouvait parmi les manifestants plusieurs représentants des milieux communautaires et du mouvement étudiant.
Qu’il s’agisse des compressions déjà en vigueur dans le milieu de l’éducation, celles à venir dans la santé et les services sociaux ou encore les modifications aux régimes de retraite, les manifestants ont voulu dénoncer «le démantèlement des services publics» et ses effets sur la majorité de la population.

«Depuis 10 ans, les seuls qui se sont enrichis, ce sont les 10 pour cent les plus riches. Pour les autres 90 pour cent, ç’a été l’appauvrissement. C’est inacceptable», a lancé Mylène Boisvert, de Solidarité populaire Estrie, du parvis de l’hôtel de ville.
Selon elle, l’austérité un choix idéologique qui fait fi des autres moyens dont dispose le gouvernement pour atteindre l’équilibre budgétaire. Elle a cité les mesures fiscales préconisées par la Coalition opposée à la tarification et la privatisation des services publics qui permettraient au gouvernement d’obtenir 10 milliards $ par année pour financer les services publics et ainsi préserver la justice sociale.
Moins de services

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Membre fondatrice de l’organisme Handi-Capable, Sylvie Godbout a dit craindre que les mesures d’austérité à venir n’affectent encore davantage la vie des personnes handicapées.
«Ma plus grande crainte, c’est que le gouvernement se mette encore à couper dans le transport adapté et les services de maintien à domicile, exprimait-elle en attendant l’arrivée des manifestants devant l’hôtel de ville. Ils ont déjà coupé dans le maintien à domicile, s’il faut maintenant qu’ils coupent dans le transport adapté, ça va être un dur coup pour la vie sociale des personnes handicapées.»

Oeuvrant dans le milieu de la santé, Philip Danforth et Simon Bédard ont dit avoir joint les rangs de la manifestation pour dénoncer les effets contenus dans le projet de loi 10. «On va encore créer des mégastructures, des gros conseils d’administration remplis de cadres, qui vont couper aveuglément des postes, sauf les leurs, et couper dans les services aux patients», ont-ils déploré.
Militante de longue date et se présentant aujourd’hui comme une «grand-mère indignée», Sylvie Brunelle s’est dit inquiète de l’effritement du tissu social auquel devront faire face les générations à venir.
«Au rythme où vont les choses, on va laisser beaucoup moins à nos enfants et à nos petits enfants que ce qu’on a reçu. C’est ça qu’une grand-mère indignée est venue dénoncer. On va leur laisser beaucoup moins à tous les niveaux, au niveau de l’éducation, de la santé et de l’environnement. Tout ce qui va rester va profiter à une petite classe d’élite ou à un club de petits amis…»
Les organisateurs ont promis la tenue d’autres manifestations d’ici le dépôt du budget Leitao, dont celle du 29 novembre qui doit réunir des milliers de personnes sur la colline parlementaire à Québec.